mercredi 1 octobre 2014

Inséparable Moleskine


Dans quelques heures, nous nous envolerons pour l'Asie... 

Pendant un peu plus de trois semaines, nous voguerons entre Malaisie et Indonésie. Mais jamais je ne partirais sans lui... Ce serait comme partir sans culotte et brosse à dent ! C'est une question de survie. Il faut que je note, gribouille, ébauche, dessine. Et il n'y a que lui qui peut m'aider à assouvir cette irrépressible envie. Mon indispensable compagnon de route. 


Je le choisis généralement petit, à la couverture souple et de préférence, avec des lignes. Si son apparence rappelle le pays que je visite, c'est encore mieux. Mais je peux tout aussi bien emporter un congénère racé de la famille Moleskine. Sobre, pragmatique, il résiste à tous les chocs. Car oui, il faut qu'il soit robuste ! Il tombe parfois, se perd dans les vêtements, cohabite avec les éléments. Qu'il pleuve, qu'il vente, j'écris. Entre le plat et le café, sur un banc de plage, dans un recoin d'aéroport. Il garde souvent la trace de son usage mouvementé. Quelques grains de sable. L'auréole d'une goutte d'eau. Ses pages sont souvent écornées à la fin du voyage. Ensuite, je le garde précieusement, comme un trésor, dans une boîte en carton. Il faut dire qu'il raconte à lui seul toute une histoire. Un pan de nos vies gravé en un inoubliable souvenir. 

A l'heure où je vous écris, je ne l'ai pas encore trouvé ! Ce carnet qui m'accompagnera sur la route de l'Asie. Mais, promis, je ferai de lui un cliché et vous livrerai un peu de sa consistance...

Retrouvez le sommaire : ici

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